Une belle troisième édition pour Mémé Monette

Nous avons passé la soirée du mercredi 17 juillet 2024 dans le village drômois de Montoison afin d’assister à la troisième édition du Festival de Mémé Monette. Celui-ci proposait habituellement trois concerts. Pour la première fois, cinq formations se sont succédé sur la belle et grande scène installée sur la pelouse du stade. Après avoir récupéré nos passes et rejoint nos amis et connaissances, nous avons siroté une boisson fraîche en attendant que commencent les festivités.
Puis sont arrivés sur scène les Lyonnais de Jay Brush. Dès les premières notes, nous avons bien compris que l’ambiance serait teintée de folie. Ils nous ont délivré, sous un ciel d’azur immaculé, un set résolument rock et d’une énergie contagieuse. D’emblée, le public a suivi le mouvement et s’est précipité sur le dancefloor malgré les fortes températures. Nous ne connaissions pas Jay Brush mais force est de constater que ce fut un plaisir de les découvrir.
A suivi l’extraordinaire duo Picon mon Amour. Ce couple de musiciens et chanteurs nous a pris au cœur et nous a menés tout droit dans un univers déjanté fleurant bon la joie de vivre et le plaisir de l’instant. Leur bonne humeur était des plus communicatives et la foule a été transcendée par leur musique guillerette. Leur tour de chant passé, ils sont allés au contact de leur public afin de continuer la fête.
Après un rapide changement de plateau, ce fut au tour du groupe Une touche d’optimisme de prendre le relais et de faire (re)découvrir son répertoire à l’assistance. Ces joyeux musiciens nous ont éblouis avec leurs nombreux titres qu’ils ont fait défiler pour notre plus grand bonheur. C’était un chaleureux moment dont nous avons pleinement profité. À refaire au plus tôt !
Nouveau changement de plateau et nouveau groupe en approche. Cette fois-ci, c’est celui composé de Mat White, Jean-Guy Chicken, Jean-René McCain et Jean-Michel Lardéchois : On n’est pas sorti de la grange, quatuor drômois aussi connu sous l’acronyme de ONPSG qui n’a absolument rien à voir avec un sport d’équipe composé de onze joueurs se disputant pour une ballon. Les quatre gentlemen farmers nous ont offert un spectacle au niveau de ceux auxquels ils nous ont habitués. C’était festif à outrance et ça respirait bon la campagne ! Ce fut très agréable.
Pour clôre cet opus du festival, c’est Martin Boyer qui a eu l’honneur et la charge d’officier. Qu’en dire, sinon que nous avons adoré ? Il nous a joué quelques-uns de ses titres et nous a éblouis ainsi que les personnes présentes. Ses musiciens, de très bon niveau, on su faire le boulot pour le plus grand bien de chacun. Encore une belle découverte pour ce qui nous concerne.
Nous avons hâte d’être à l’an prochain pour participer à la quatrième page de ce beau livre.
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