Festival Sur le Champ 2025 : La troisième soirée !

Il s’appelle Arash Sarkechik, il est français mais garde encore sa culture iranienne dans le cœur et surtout les tripes. Interviewé par Sylvain, il montre une véritable générosité. Passionné de musique depuis son plus jeune âge, c’est à force de rencontres qu’il fonde son style, très inspiré par la World music. S’exprimant en français et en farcy, il est conscient que sa musique peut constituer un pont entre deux civilisations qui ont beaucoup de choses en commun. Son dernier album, Bazaari, témoigne de cette identité nomade, festive et haute en couleurs.

Puis Kutu a animé la scène avec une prestation sans fausses notes. Un trio fondé par le violoniste français Théo Ceccaldi, accompagné de deux chanteuses éthiopiennes. Un fond de jazz et d’instruments traditionnels pour une musique métissée. C’est une invitation au voyage garanti.

Yuri Buenaventura, c’est le chantre de la salsa et des musiques latines. Âgé de cinquante-huit ans, il est connu pour avoir écumé, au début de sa carrière, les établissements latino de Paris. Ce natif de Colombie, venu en France pour ses études, est le symbole de la Salsa, une musique contestataire née à New York. Son titre le plus connu est une reprise salsa de Ne me quitte pas, de Jacques Brel. Il en fait un véritable ambassadeur de la musique latino en France et dans le reste du monde.

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