Reportage au Gros Festival 2025 – Jour 1

Reportage au Gros Festival 2025 – Jour 1

L’équipe de Bastringue Corp est encore et toujours d’attaque pour couvrir vos événements préférés : ici la troisième édition du Gros Festival à Peyrins (26).

C’est avec plaisir que je vous partage aujourd’hui la découverte de The Keith Richardson Syndrome en provenance de Valence. Les six musiciens entrent sur scène et installent direct une ambiance rock « punchy » comme on les aime. Nous sommes plongés dans l’univers du bon rock américain depuis les années 60. De quoi rassembler toutes les générations. C’est alors que je rencontre un groupe d’amis, des amis d’enfance du percussionniste Etienne. Entre private joke « moule ta chatte », rire et émotion, je perçois cet attachement plus puissant que le lien du sang. Ne disons pas souvent que les amis sont la famille qu’on choisit… Mais revenons au concert : ambiance familiale, joviale et entraînante ! Etienne que je surnommerai « shake man » m’impressionne par ses nombreuses cymbales et maracas différentes. Et n’oublions pas les cinq autres musiciens : à la guitare, à la basse, à la batterie et au chant qui ont véritablement su mettre le feu pour notre plus grand plaisir. Bref un début de soirée réussi !

Laissons place maintenant à Maxxo du pur Reggae originel. Eh oui, on peut être français et avoir le précieux talent de rendre hommage aux origines du reggae jamaïcain. Et Maxxo le fait avec panache : impossible de ne pas jumper, lever les genoux jusqu’au menton et surtout lever les bras en l’air. De We back again à Next Generation, je suis enivrée par ces riffs coloré, chaleureux et rythmés. Tous les ingrédients sont là pour nous faire vibrer. J’ai dis « vibrer » ? Mais alors comment vais-je vous exprimer mon excitation lorsque Maxxo invite sur scène Mike des Sinsémilia pour un Get up Stand Up, bel hommage à l’incontournable Bob Marley ? Je ne trouve pas de mots assez puissants.

Et pourtant, je retrouve toute la puissance de Perfect Style et de Watta feelin en live avec le public en effervescence. Il faut le vivre pour comprendre. C’est avec un incroyable plongeon dans la foule que Maxxo fait son final avec une chute un peu violente, mais rien de cassé : Ouf !

Didgital nous offre un set original avec la vibration du didgeridoo. On ne peut que se laisser porter par le rythme. C’est une bonne découverte qui clôture la première soirée du GROS Fest.

Je vous remercie de surfer avec moi sur cette merveilleuse vibe que nous procure la musique et plus particulièrement pour moi le Reggae.

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Sandrine