Plane’R Fest 2025 : Le Jour #2 ! (Samedi 5 juillet)

Plane’R Fest 2025 : Le Jour #2 ! (Samedi 5 juillet)

À la suite d’un problème avec la location de notre véhicule qui nous fait perdre à Ralph et moi-même plus d’une heure, nous loupons le DJ Set qui a eu lieu durant une nouveauté de cette année : le DISKOPERO ! En effet, pour la première fois, le festival est ouvert entre 11 h 30 et 13 h 30 pour permettre à toutes et tous de profiter de la restauration, du bar, du merch, du marché et surtout de danser un peu devant un set diskofunk avant l’ouverture pour les concerts l’après-midi. Or, nous arrivons peu après 13 h 30, une fois le set terminé. Au moins, nous sommes à l’heure pour vous parler des concerts de l’après-midi !

Au besoin, vous avez le compte rendu du premier jour : https://bastringue.fr/planer-fest-2025-jour-1

Perseide

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Formé en 2010 par quatre amis d’enfance, Perseide mêle rock, metal, punk américain et touches électroniques pour créer un son puissant et accrocheur. Repérés par le label OrageRock, ils enchaînent les tournées en France, en Europe et aux États-Unis, partageant la scène avec des groupes majeurs. En 2020, ils signent chez WormHoleDeath et sortent leur premier album The Only Thing. Leur nouvel opus, P.I.E.C.E.S. (2024), confirme leur énergie et leur créativité !

Il est 15 h 02 lorsque Perseide attaque sur le Terminal 2 pour ouvrir cette deuxième journée de festival. Le public est déjà bien présent malgré la chaleur.

15 h 04 : « Est ce que vous êtes là ? »

15 h 08 : « Hey Plane’R Fest on est les Perseide ! est-ce que vous êtes chauds ? »

15 h 12 : « Remember who you are Plane’r Fest ! » avec le titre Remember !

15 h 17 : « Vous êtes des malades, c’est un putain de plaisir d’être ici ! On est nés à 1 km d’ici, à Saint Laurent De Mure ! » puis remerciements et « du bruit pour les groupes qui jouent après ! »

15 h 37 : « C’est l’heure du dernier morceau. »

15 h 41 : « C’était les Perseide ! » et photo souvenir, classique et efficace.

C’est toujours aussi plaisant à écouter et une bien belle mise en jambe pour cette journée ! Si Perseide est en concert vers chez vous, foncez les voir !

Setlist

Merci au groupe de me l’avoir communiquée si rapidement !

En ligne

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Amon Sethis

Logo Amon Sethis

Amon Sethis est un groupe grenoblois de Power Metal Progressif né, en 2007, de la passion de Julien Tournoud, chanteur et principal compositeur du groupe, pour l’Égypte ancienne. Son identité artistique repose sur un concept original et ambitieux : raconter, à travers une trilogie d’albums, l’histoire de la mystérieuse et quasi-légendaire septième dynastie des pharaons d’Égypte. Cette période, très peu documentée par les égyptologues, sert de toile de fond à une fresque musicale où se mêlent fiction, mythologie et puissance sonore.

Amon Sethis est le groupe gagnant du tremplin de cette année (qui a eu lieu le 15 mai au rock’N’Eat). La formation a donc l’honneur et aussi la délicate tâche d’ouvrir le Terminal 1 en ce samedi !

À 15 h 50, pile à l’heure, Amon Sethis démarre son show avec déjà du feu sur scène !

15 h 57 : « Nous sommes Amon Sethis on va vous raconter des histoires sur l’Égypte ancienne ! »

16 h 00 : « je veux toute votre énergie ! Vous êtes incroyables ! »

16 h 02 « Est ce que montcul vas bien ? » puis c’est The Blood Red Temple (6eme dynastie, album précédent)

16 h 21 « Vous êtes prêts pour la dernière ? Accueillez comme il se doit Osiris ! »

Nous avons eu de la danse et une grande scène fort bien remplie ! Le chanteur, Julien, est littéralement habité par son interprétation, c’est impressionnant ! Si vous aimez le Power Metal et son côté épique, je vous les conseille vivement ! C’était un grand plaisir de les revoir cet après-midi !

Setlist

  • Dawn Of An Apocalyptic World
  • Lamentation
  • The Rise Of The Tyrant
  • The Blood Red Temple
  • Kubatalawa
  • At The Threshold Of Doom The Rise Of Aoutef’s Army
  • Osiris God Of The Dead
  • From Dust To The Stars

Merci à Julien de m’avoir communiquée la « Amon-Setlist » rapidement !

Le groupe sur les réseaux

Retrouvez le quintette Amon Sethis en ligne :

Eight Sins

Eight Sins est un groupe grenoblois fondé en 2006 par une bande de copains passionnés de musique extrême, notamment Loïc (chant) et Arnaud (guitare), rapidement rejoints par Mike (basse) et Julien (batterie). Leur style s’inscrit dans le Crossover Metal, mêlant Thrash Metal américain et Hardcore new-yorkais, tout en y injectant une bonne dose d’énergie et de second degré ; Leur devise : « Beers & Moshpit ! »

Ils étaient déjà venus au Plane’R en 2022 après avoir gagné le tremplin cette année-là. Depuis, ils ont fait un petit bout de chemin sur la scène (tout comme tous les autres groupes participants ce soir-là d’ailleurs).

16 h 39 : la bande son introductive de Eight Sins est lancée Terminal 2 avant que le groupe ne débarque et déverse sa puissance sur le pit.

16h50 : Ils font mettre le public a genoux pour les faire tous sauter d’un coup au démarrage du titre 

17 h00 « Vous allez m’ouvrir cette fosse jusqu’à la régie ! »

17 h 20 : ils terminent sur la bande son Maniac (version originale).

C’était l’immense – et joyeuse – bagarre dans la fosse avec des ballons gonflables et des frites de piscine en mousse et surtout des crowdsurfs incessants surtout une fois que le chanteur a dit de créer une marée humaine vers les crash barrière pour submerger la sécu – qui s’en est particulièrement bien sorti !

Future Palace

Future Palace est un groupe allemand de Post-Hardcore formé à Berlin fin 2018. Le trio est composé de Maria Lessing (chant), Manuel Kohlert (guitare) et Johannes Frenzel (batterie). Ils se sont rapidement imposés comme l’une des formations montantes de la scène alternative européenne, notamment grâce à leur énergie scénique et à la voix puissante et expressive de Maria Lessing.

Je dois avouer que je n’ai découvert ce groupe que l’année dernière, et j’étais vraiment enthousiaste à l’idée de les voir en concert. Alors, imaginez ma joie lorsque le Plane’R a annoncé que la formation rejoignait la programmation de cette année !

Après un court line-check, à 17 h 30, la bande son de Future Palace se fait entendre !

Une minute plus tard, le groupe arrive sur scène et attaque avec Malphas !

17 h 34 : « We are Future Palace from Germany, the next song is A Fool on the Devil’s Reins » qui se termine à 17 h 37 sur « Merci ! » (en français !). Elle est suivie de Uncontrolled.

17 h 42 : « The next one is called Defeating Gravity ! »

17 h 45 : « Thank you guys ! The next song is called Dreamstate ! » qu’ils enchainent avec Panic Paralysis.

17 h 54 : « This next song is called Rays of Light ! »

La suivante sera de leur dernier album, Distortion, et sur l’important sujet du respect dû aux femmes : The Echoes of Disparity qui prend fin à 18 h 02. Les suivantes sont Flames, Amethyst puis Fever.

18 h 15 : la suivante est sur le sujet de la dépression et de la santé mentale : Decarabia, sur laquelle un wall of death est spontanément organisé dans la fosse !

18 h 19 : c’est Dead Inside puis Heads Up sur laquelle, à 18 h 24, Maria organise un circle pit.

Ensuite, elle annonce que ça sera leur « Final song / Future Palace anthem called Paradise ! »

18 h 28 : Maria organise un dernier Wall of Death pour ce set !

Quel set, quelle énergie sur scène malgré la chaleur encore intense ! Ce fut un immense plaisir de les voir sur scène ! Difficile de ne pas succomber à la déferlante Future Palace ! Le trio berlinois conjugue une énergie brute à une sensibilité mélodique irrésistible, tissant des refrains accrocheurs sans jamais sacrifier l’intensité. Sur scène, Maria Lessing, véritable force magnétique, capte l’attention par sa présence et son charisme indéniable ! Mes attentes furent largement comblées !

Setlist

  • Intro / Malphas
  • A Fool on the Devil’s Reins
  • Uncontrolled
  • Defeating Gravity
  • Dreamstate
  • Panic Paralysis
  • Rays of Light
  • The Echoes of Disparity
  • Flames
  • Amethyst
  • Fever
  • Decarabia
  • Dead Inside
  • Heads Up
  • Paradise

Merci au manager du groupe de me l’avoir fournie rapidement !

Planet of Zeus

Entre fougue Hard Rock et guitare Fuzz à la saturation grasse, le quartette Grec Planet Of Zeus propose un Stoner métissé aux fortes influences de Rock Heavy. Un équilibre détonnant qui pose le tempo avec brio. Patterns de guitare empressés, rythmiques endiablées et chant grave et rauque poussé aux extrêmes, on surf ici sur des ondes bouillantes, électrisantes, et terriblement addictives !

18 h 40 : Planet Of Zeus démarre sur le Terminal 2.

19 h 22 : « Our show is over ! Now it’s yours to scream ! Let’s go berserk ! » et ça sera la fin du set à l’heure prévue.

J’ai découvert le quartette comme pas mal de monde ici. C’est tout à fait sympathique, un peu plus « calme » que leurs prédécesseurs (si on peut parler de calme), un peu planant par moments, tout en restant fort efficace !

Setlist

  • Macho Libre
  • Gasoline
  • Baptized in His Death
  • Leftovers
  • No Ordinary Life
  • Vanity Suit
  • ???
  • Them Nights
  • Loyal to the Pack
  • Your Song
  • Vigilante

Feuerschwanz

Feuerschwanz est un groupe allemand de Folk Metal formé en 2004 à Erlangen, en Franconie, autour de Peter « Hauptmann Feuerschwanz » Henrici. Né de la volonté d’insuffler une dimension humoristique et satirique à la scène médiévale allemande, le projet se distingue dès ses débuts par une approche décalée du Moyen Âge, jonglant avec la parodie, l’autodérision et la réinterprétation burlesque des codes historiques. Très vite, Feuerschwanz impose sa marque de fabrique : un alliage festif et énergique entre riffs de Metal, instruments traditionnels (flûtes, cornemuses, vielle à roue) et textes grivois volontiers irrévérencieux. Le groupe revisite, non sans un certain panache, légendes populaires et folklores médiévaux à travers une imagerie théâtrale et des prestations scéniques hautes en couleur, gagnant ainsi une solide popularité sur la scène européenne des musiques alternatives.

Le funfact pour moi et donc que je me dois vous partager est que j’ai découvert le groupe il y a un peu plus d’un mois, début juin précisément, soit deux semaines avant qu’ils ne soient annoncés en remplacement d’Ultra Vomit (force à Fetus), et que j’avais très envie de les voir sur scène, ça fait deux vœux exaucés aujourd’hui avec deux groupes allemands (Future Palace était l’autre plus tôt, remontez, je vous l’ai écrit).

Feuerschwanz démarre leur show à 19 h 34 ! Ils ont joué la veille au Nord de Francfort et demain ils seront au Kave Fest (à Gisors, entre Paris et Rouen), c’est la trépidante et dure vie sur la route lors des tournées des festivals d’été !

Le groupe joue ce soir quasiment face au soleil qui se couche dans environ deux heures. Ils sont en armure et il y a de la pyrotechnie, bref, il doit faire encore plus chaud sur scène que dans le pit !

Après une intro soutenant leur arrivée sur scène pour attaquer le set par Dragonslayer, à 19 h 42, c’est la fin de Mememto Mori.

Puis, à 19 h 46, nous avons droit à quelques mots en français du chanteur « J’aime la France ! » Merci à lui, c’est toujours aussi appréciable, et apprécié !

Puis à 19 h 53, ils lancent Knightclub en faisant sauter les gens qu’ils avaient faits mettre à genoux peu avant. Knightclub est la chanson qu’ils ont présentée cette année à l’Eurovision ! Puis c’est Ultima Nocte à 19 h 57 avec deux danseuses tenant des sortes de multi-piques enflammées, une de chaque côté de la scène, ensuite, ils préparent un Wall Of death en intro de Schubsetanz.

20 h 14 : « who wants to live forever ? » C’est le lancement du titre Highlander !

20 h 18 : ils démarrent leur reprise de Dragosta Din Tei (de O-Zone) !

20 h 22 : « Thank you Plane’R Fest » et le groupe part mais une bande son épique est jouée … et ils reprennent de plus belle le titre Valhala, sur lequel le pit s’est assis pour ramer / former une vague, certain.e.s crowdsurfant par-dessus, et dont le refrain colle parfaitement sur la Macarena comme l’ont démontré quelques personnes dans le public !

20 h 26 : « Have you more energy for a last song ? » Ça sera Das Elfte Gebot. Puis, à 20 h30, « Merci beaucoup Plane’R ! » (en français). Ensuite c’est l’heure de la classique photo du groupe et révérences sur leur reprise de Gangnam Style (de PSY) jouée en bande son sur laquelle chaque membre est mise en avant.

Ce fut un méga claque, quel show, quelle ambiance ! Feuerschwanz ça met tout le monde d’accord ! Ils ont fixé la barre très haut, ça va être dur de leur succéder sur la scène !

Setlist

Locomuerte

Locomuerte est un groupe français formé en 2009 en Île-de-France, plus précisément dans l’Essonne, qui s’est imposé comme une référence du Thrash Punk Crossover à la sauce chicano. Leur identité repose sur un mélange explosif d’influences venues du Hardcore, du Thrash et du Punk des années 80/90 (Suicidal Tendencies, Anthrax, Agnostic Front, Motörhead), le tout porté par un chant en espagnol au flow latino ultra-groovy, ce qui leur confère une signature sonore unique et immédiatement reconnaissable.

À 20 h 39, la bande son de Locomuerte est lancée sur le Terminal 2 ! Il s’agit du titre Round 2 (Sal del Callejon) de Solo Tiraeras LLC et l’ombre commence à arriver doucement sur le site du fest avec le soleil couchant face auquel ils vont jouer, même si le terminal 2 est un peu moins en face que le terminal 1. Puis la bande son continue avec Canción del mariachi de Los Lobos (BO du film Desperado) et, à 20 h 45, le groupe arrive sur scène !

20 h 53 : « Montcul est ce que vous êtes chauds ? »

Ils ont fait venir deux lutteurs, El Lobo et Jesus Bazooka, ce dernier étant une micro estrella – un athlète de petite taille – sur la scène pour une ambiance lucha libre mexicaine ! Nous avons eu des crocodiles gonflables qui surfent sur le public, et un duo avec Loïc, le chanteur de Eight Sins !

Là encore, comme pour Eight Sins, ce fut une immense bagarre comme on s’y attendait (la sécu nous avait prévenu avant, normalement nous avions accès à la zone des crash barrières pour tout le set mais par sécurité ils nous ont limité aux trois premiers morceaux, vu l’activité intense qu’ils ont eue, c’était raisonnable comme demande).

Nous aurons le plaisir de les revoir lors du Beaujofest 2025 !

Setlist

  • Tiro Pa Matar
  • Parano Booster
  • La Brigada de los Muertos
  • Bandolero
  • Ronque
  • Demonios
  • B91
  • Barrio 
  • MI Familia
  • Los Narcos
  • La Vida Loca

Merci à Nico de me l’avoir fournie !

Gloryhammer

Gloryhammer est un groupe britannique de Power Metal symphonique, fondé en 2010 par Christopher Bowes, également connu comme le claviériste et chanteur du groupe de Pirate Metal Alestorm. Le projet se distingue par son univers musical inspiré de l’Heroic Fantasy, puisant dans les codes de Tolkien et des grandes œuvres du genre. Le groupe se définit lui-même comme pratiquant du « Heroic Fantasy Power Metal ».

À 21 h 37, Gloryhammer débarque sur le Terminal 1.

21 h 52 : c’est maintenant Fly Away !

À 22 h 44, c’est Hootsforce !

22 h 46 : « One more song ? This is The Unicorn Invasion of Dundee »

22 h 54 : C’est la fin et bande son : Rockin’ All Over the World de Status Quo.

Le show de Gloryhammer fut des plus plaisants pour l’amateur de Fantasy (et de jeu de rôle) que je suis !

Setlist

  • Delilah (de Tom Jones, joué sur bande)
  • Incoming Transmission (bande son)
  • The Land of Unicorns
  • He Has Returned
  • Fly Away
  • Angus McFife
  • Also sprach Zarathustra (de Johann Strauss, sur bande)
  • Wasteland Warrior Hoots Patrol
  • Gloryhammer
  • Masters of the Galaxy
  • On a Quest for Aberdeen
  • The Siege of Dunkeld (In Hoots We Trust)
  • Keeper of the Celestial Flame of Abernethy
  • Universe on Fire
  • Hootsforce
  • The Unicorn Invasion of Dundee
  • The National Anthem of Unst
  • Rockin’ All Over the World (de Status Quo, sur bande)

Angelus Apatrida

Angelus Apatrida est un groupe de Thrash Metal originaire d’Albacete, en Espagne, fondé en mars 2000 à la suite de la fusion de deux jeunes groupes locaux partageant le même espace de répétition. Dès ses débuts, le groupe s’est donné pour ambition de rassembler les différentes influences musicales de ses membres dans un projet commun, ce qui a façonné son identité sonore.

23 h 10 : Angélus Apatrida envoie son Thrash dans Montcul ! À 23 h 54, c’est, déjà, la fin et bande son : Beastie Boys (You Gotta) Fight for Your Right (To Party!).

Ce set fut un véritable caviar auditif mêlant Thrash et Hardcore ! Comme l’a si bien résumé Micka (organisateur du Beaujo Fest) : « C’était l’orgie dans la fosse ! »

Perturbator

Perturbator, de son vrai nom James Kent, est un compositeur et producteur français. Il s’est imposé comme une figure emblématique des scènes Synthwave et Darksynth. Sa musique s’inspire des bandes originales de films de science-fiction des années 1980. Il cite parmi ses influences majeures des artistes comme John Carpenter ou Vangelis. Son univers se démarque par des atmosphères sombres, un esprit cyberpunk et une dimension puissamment cinématographique. Après un début dans le Metal, il s’impose dès 2012 avec des albums majeurs tels que Dangerous Days ou Lustful Sacraments, et bénéficie d’une reconnaissance internationale, notamment grâce à la bande son du jeu Hotline Miami et à des performances électrisantes dans les plus grands festivals. Perturbator incarne ainsi la synthèse réussie de la nostalgie rétro-futuriste et d’une esthétique contemporaine acclamée sur la scène électronique mondiale.

À 00 h 05, comme prévu, Perturbator démarre son set qui va clôturer cette édition 2025 du Plane’R Fest’ !

00 h 33 : la scène posée sur la scène s’ouvre en deux séparant Perturbator de son batteur pour la première fois. Ils se rapprocheront et s’éloigneront à nouveau régulièrement, séparés par une rangée de projecteurs dans la profondeur de la scène.

C’est un magnifique show audiovisuel, Perturbator invitant régulièrement de la main le public à crowdsurfer !

01 h 14 : La fin du set est nette et brutale. C’était tellement bien que tout le monde en redemande et reste là à se demander s’il va revenir… Mais non ! Ça sera donc la fin avec 10 minutes d’avance sur ce qui était indiqué. J’en aurais aimé plus, le reste du public aussi, mais c’est ainsi quand c’est trop bon, on en veut toujours plus !

Nous partons peu après la fin du set et à 2h15 me voilà rentré, des décibels et des lights plein la tête ! Moment prévention : Je précise, s’il était nécessaire de le faire, qu’il s’agit d’une image. Je porte systématiquement des bouchons d’oreille. Vu les niveaux sonores, surtout près des enceintes comme j’ai pu être, c’est obligatoire pour la survie de vos tympans !

Conclusion

Le Plane’R c’est chaque année plus de 350 bénévoles, renforcés par plus de 300 professionnels pour assurer l’ensemble des différents postes, œuvrant de concert au bon déroulement de ce festival. Des piliers invisibles, souvent dans l’ombre, sans qui rien ne serait possible. Nous tenons donc à remercier toutes les équipes du Plane’R Fest, les chaleureux et infatigables bénévoles, la sécu des crashs, nos vaillants contacts (et amis) de chez Mediatone, Les Sonorités de Montcul, Baam Production et vous, lecteur qui est arrivé jusqu’ici !

N’oubliez pas : sans public, pas de spectacle vivant !

Toutes les photos sont (c) 2025 Ralph Gopaul, tous droits réservés, pour Bastringue Corp.

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Olivier

"La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil." - Friedrich Nietzsche